Alors que la Tunisie souffre de stress hydrique et que la moindre goutte d’eau est bonne à prendre, voilà que des gens sans conscience (comment peut-on les qualifier ?) s’en prennent à deux stations de pompage, dans le district de Béja, pour voler du cuivre. C’est un acte très grave et qui devrait être sanctionné avec toute la rigueur possible. D’autant plus que ce n’est pas la première fois que de tels actes sont commis. Mais cela c’est la partie immergée de l’iceberg. Car ces voleurs sont du menu fretin. Au-dessus d’eux, il y a les barons de la contrebande dans l’ombre, qui amassent des fortunes et qui ne courant aucun risque. Ce sont ceux-là qu’il faut traquer.